DEUX PROFILS D’INVESTISSEMENT COMPLEMENTAIRES POUR OPTIMISER LE COUPLE RENDEMENT/RISQUE
- INVESTISSEMENTS DANS LES FILMS et SERIES
Via ce type d’investissement, CINEMAGE 17 accède à la valeur patrimoniale du film grâce à des droits à recettes à provenir des principaux supports d’exploitation (entrées en salles, vidéo, VOD, TV, plateformes SVOD, ventes internationales, droits dérivés) qui seront cédés et valorisés avant la dissolution de la société. CINEMAGE 17 privilégiera, à chaque fois que c’est possible, un accès prioritaire aux premières recettes d’exploitation.
CINEMAGE 17 consacrera la moitié de ses investissements à des 1ers et 2èmes films de réalisateurs :
-qui ont souvent un meilleur ratio potentiel commercial / budget, et présentent alors de meilleures conditions pour les investisseurs ;
-qui représentent une part prépondérante de la production française et permettent un choix large, diversifié et de qualité.
Une partie des investissements de CINEMAGE 17 fera l’objet d’un contrat d’adossement avec des producteurs. CINEMAGE 17 ne tirera aucun profit de la revente des droits à recettes relatifs aux investissements adossés (27,5% maximum des investissements), cette revente s’effectuant au montant nominal (diminué des sommes déjà encaissées sur ces investissements et des frais de gestion). Aucun de ces investissements ne bénéficiera d’une garantie bancaire permettant d’en sécuriser le paiement, de sorte que le remboursement dépendra de la santé financière de l’adosseur. Les souscripteurs ne réaliseront aucune plus-value sur cette partie de l’investissement de la SOFICA.
- INVESTISSEMENT DANS LE CAPITAL DE SOCIETES DE PRODUCTION
CINEMAGE 17 investira au moins 20% de son enveloppe sous forme de souscription au capital d’une société de production cinématographique ou audiovisuelle. La filiale dédiée signera des conventions de développement avec des producteurs rigoureusement sélectionnés. Les encaissements sur ces investissements sont déclenchés par la mise en production des films et non par leur sortie ; ils sont donc décorrélés du risque de sous-performance du film lors de son exploitation commerciale. Ces investissements sous forme de conventions de développement pourront faire l’objet d’une rémunération par la pratique d’un taux de capitalisation qui peut limiter le potentiel de plus-value.